« On a rarement l’occasion de feuilleter aussi tranquillement, aussi sérieusement l’album intime d’autrui, où ciruclent les parents, les amants, les amis. »
Claire Devarrieux, Libération, 8 juin 2000

« Anne Brunswic jette de minuscules et précieuses lumières sur notre demi-siècle à travers une écriture rapide par pudeur et cursive par entrain. »
Gilles Costaz, Magazine Littéraire, novembre 2000

« Quand tant d’autres répandent des larmes sur des douleurs imaginaires, Anne Brunswic se regarde avec une ironie froide…, une sobriété d’écriture qui dessine un style. Celui d’une humoriste d’elle-même. »
Guy Konopnicki, L’Evénement du Jeudi, 15-21 juin 2000

« Certes, quelques gouttes de tristesse ponctuent de bémols cette jolie sonate d’un temps passé, ce courrier du cœur greffé au corps d’une écriture aérienne mais, marcher à contre-oubli impose parfois quelques genoux couronnés.
Fabrice Lanfranchi, L’Humanité, 8 juin 2000

« Il faut lire ce livre dont la sincérité engagée et critique vous touchera au plus profond »
Antoine Spire, L’Arche, juillet-août 2000

« Il faut que l’auteur ait atteint la maturité et que le père soit un vieillard pour qu’elle comprenne et se réconcilie avec lui. Œdipe enfin dépassé. Tout s’éclaire alors. Plus que le besoin de faire un premier bilan de sa vie, la quête du père a suscité l’irrésistible pulsion d’écrire ».
Elisabeth Cépède, La Faute à Rousseau, juin 2001