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Pierre Ganz, Livre international

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LIVRES HEBDO

« Anne au pays des Soviets. [...] C’est passionnant, vivant, extrêmement instructif. Malgré la perestroïka, l’ancienne URSS demeure pour les Européens un sous-continent fermé sur lui-même, mystérieux et vaguement inquiétant. Grâce à Anne Brunswic, même si celle-ci ne prétend nullement à l’exhaustivité ni à l’extrapolation, on en sait un peu plus. Et surtout, on rêve de partir soi-même là-bas. Quel plus beau compliment peut-on faire à un récit de voyage ? »
J.-C. P., Livres Hebdo, 9 décembre 2005

LE FIGARO

« Il suffit d’un livre pour que le paysage s’éclaire. Les regards et les visages surtout. Même s’ils sont brouillés par la peine, la difficulté de vivre, les forces qui s’étiolent. En partant pour la Sibérie, Anne Brunswic [...] est allée là où les choses comptent vraiment : au cœur de l’humain. [...] Elle trace une géographie intime de la Sibérie. Un portrait social, engagé, et tendre à la fois. Ainsi Arkouk, Marta, Liouda deviennent proches et l’envie nous vient de partir aussi. »
Stéphane Guibourgé, Le Figaro, 7 janvier 2006

LE NOUVEL OBSERVATEUR

« Carnet et magnétophone en poche, A.B. a sillonné ces immensités au cours de deux périodes, en hiver 2004 et printemps 2005, en quête de récits de vies. Tamara, une journaliste née dans un camp où sa mère était détenue, Natalia, fille adoptive de Iejov, l’organisateur des grandes purges staliniennes de 1937-1938, des noms de femmes rythment ces pages. [...] D’un bout à l’autre de ce gigantesque territoire, ce qu’Anne Brunswic a trouvé, ce sont des femmes éprouvées par la dépression économique et encore hantées par le fantôme de Staline. « Le peuple russe crève », conclura l’une d’elles. »
Sarah Halifa-Legrand, Le Nouvel Observateur n°2153, 9 février 2006

LA TRIBUNE DE GENEVE

« Son livre est chaleureux en dépit du thermomètre. L’auteur montre à quel point le pays tient grâce aux femmes. Les fils et les maris sont soit morts, soit en fuite, soit ivres morts. » La Tribune de Genève, 13 janvier 2006

LE MATRICULE DES ANGES

« Briseuse de glace [...] Avec une vraie curiosité pour autrui, ce qu’elle appelle sa « bienveillance de principe », l’auteur conduit vers différents visages, différents destins ? [...] Ces chroniques possèdent en effet une des grandes vertus de la littérature de voyage : en nous faisant découvrir d’autres cieux et réfléchir sur d’autres manières de vivre, elle nous incitent aussi à porter un regard critique sur notre propre système de valeurs. »
Delphine Descaves, Le matricule des anges, n°971, mars 2008

BIBA

"Aux confins du monde chauffé, Natalia, Tamara, Lioudmila et tant d’autres témoignent : entre souvenirs cuisants et légendes polaires, elles nous ouvrent un monde étrange, souvent dur, parfois drôle. Anne Brunswic nous les présente avec une finesse, un don d’empathie qui font tout le prix de son épopée."
Biba, mars 2006

L’INEDITE

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